
Et comme il fallait s’y attendre, c’est des cendres d’un genre mourant, le disco-punk, hier incarné par Police et Jacques Brel que renaît aujourd’hui le phœnix flamboyant du rock authentique, le seul capable de chanter l’hymne à la vie!
Mêlant la frénésie extatique d’un toys’r’us la veille de noël et le charme désuet d’une station balnéaire sur la mer noire, Jack the Cop surprend, emporte, exalte, transporte, exhorte, transpulte, émeut, touche retouche et tripote, dérange parfois, mais jamais pendant les repas.
OUI, Jack the cop c’est un sport de combat, une épiphanie, une symphonie onirique, c’est le retour du roi.
Jack the Cop prêche l’amour, l’auto-satisfaction et le culte de ma personne…